An 64/Défilé civil et militaire : La Côte d’Ivoire, puissance économique et militaire
Après son traditionnel message à la Nation prononcé la veille, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara et son épouse ont présidé, le mercredi 7 août, un défilé civil et militaire, autoroute de Grand-Bassam.
Un évènement organisé afin de marquer les 64 ans de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, autour du thème, « Jeunesse ivoirienne et forces de défense et de sécurité : pour l’engagement civique et la responsabilité citoyenne ».
Ce sont des détachements civils en lien avec l’excellence qui ont constitué le premier tableau du défilé. La parade civile s’est effectué avec exactement, le passage de 15 entités « dont les performances, chacune dans son domaine d’activité, contribué a forger une jeunesse utile au développement de la Côte d’Ivoire ». Il s’agit entre autres, de l’INPHB, des meilleurs élèves des examens nationaux 2024, des meilleurs représentants dans le domaine de disciplines sportives.
Le second tableau du défilé, les forces de défense et sécurité, aux côtés d’un détachement de l’armée populaire de libération de la Chine.
Celui-ci, invité spécial de l’An 64 du défilé militaire est un détachement stationné à Djibouti.
Ce sont 11 détachements militaires, para militaires et spéciaux ; 303 cycles, engins et véhicules articulés en 12 rames pour témoigner de la puissance de feu des FACI, dans ses différentes composantes. Sur terre, dans les airs et en milieu aquatique et dans le domaine électronique le public a pu découvrir et être rassuré par une partie de l’arsenal dont disposent ceux qui sont commis pour leur sécurité.
Comme pour marqué sa satisfaction, le chef de l’Etat ne manquait pas d’applaudir, au passage de chacune des entités (Gare républicain, Force spéciale dont, le bloc contre terrorisme et libération d’otages, le bloc jungle, police, gendarmerie, douaniers, militaires, agents de la police maritime, gardes pénitenciers, agents des Eaux et Forêts) avec l’équipement qu’impose les activités de chacune des forces.
On citera, des vecteurs aériens (des drones, des avions de surveillance et de reconnaissance, des hélicoptères de combat, des avions de transport de troupes), des embarcations pour milieux aquatiques, des chars, des blindés légers, des blindés lourds, des engins de maintien de l’ordre.
Autre signe de la puissance de l’armée ivoirienne, l’entrée en scène de parachutistes qui ont atterri avec précision, sur un point prédéterminé du site d’accueil de la cérémonie de la parade, après leur largage d’un appareil aérien.
Mathias Kouamé