Fête du travail: Le PM, Beugré Mambé rassure les travailleurs, ce qu’il compte faire avec les centrales syndicales les semaines à venir
Lemandatexpress – La traditionnelle fête du travail a eu lieu, ce 1er Mai 2024, sur toute l’étendue du territoire national.
Les festivités officielles se sont déroulées, à Abidjan-Plateau, dans les locaux de la primature. À cette occasion, les centrales syndicales et le chef du Gouvernement, Robert Beugré Mambé se sont parlés. Le Premier ministre ivoirien, après avoir écouté attentivement, leurs revendications, les a assurés de la disponibilité du gouvernement à les accompagner pour faire en sorte que les travailleurs de Côte d’Ivoire aient un emploi décent et puissent vivre dignement et s’assurer des jours plus heureux, en plein exercice, mais également à la retraite dans un cadre de vie approprié.
« C’est cela notre devoir et l’objectif ultime du gouvernement… Après vous avoir écoutés. Nous avons reçu instruction de décomposer notre collaboration en plusieurs phases. La première, avant le thème indiqué par notre frère Soro, nous allons mettre en place le Comité Paritaire dont il a été question. Deuxièmement nous allons dresser la cartographie de vos préoccupations.
Troisièmement, nous aurons des séances explicatives pour que nous nous comprenions aisément. Quatrièmement, établir un calendrier des réalisations et cinquièmement, nous allons rendre compte pour que vos revendications ne restent pas dans les tiroirs, mais trouve un visage. Le schéma est trop clair dans notre tête, vous pouvez faire confiance au Président de la République », a fait savoir le PM aux différents travailleurs.
A la célébration officielle de cette Fête du travail, ce mercredi 1er mai, à la Primature, Beugré Mambé, a souligné le rôle clé des centrales syndicales et particulièrement leur adhésion volontaire au dialogue social. Les porte-paroles des cinq centrales syndicales avaient au préalable salué les efforts du gouvernement en faveur de l’amélioration des conditions des travailleurs, avant de présenter leurs doléances.
HG