Municipale 2023 à Bouaké : Amadou Koné: « Le camp de la paix et du développement doit gagner largement sur le camp du bavardage…»
Pour ses nombreuses actions en faveur des populations de Bouaké toutes tendances politiques, religieuses et couches sociales confondues, le ministre Amadou Koné, candidat du RHDP aux élections municipales du 2 septembre prochain à Bouaké, a reçu la reconnaissance et le soutien de l’union des jeunes résidents des cinq cantons de la commune rurale de Bouaké. C’était le samedi 22 juillet 2023 au centre culturel Jacques Aka de Bouaké en présence du ministre Amadou Koné, du directeur général du trésor et de la Comptabilité publique Jacques Assahoré Konan, candidat du RHDP aux élections régionales de Gbêkê et le maire sortant Nicolas Djibo de la commune de Bouaké.
Occasion pour Amadou Koné de refaire un tour d’horizon sur les efforts consentis par le président Alassane Ouattara et ses gouvernements successifs pour la paix, la stabilité et le développement du pays. « Le camp de la paix et du développement doit gagner largement sur celui du bavardage au soir du 2 septembre prochain », a-t-il lancé. Amadou Koné continue de ratisser large à quelques semaines des élections municipales à Bouaké.
Après le soutien en mai dernier, des 700 jeunes venus des 122 villages de la commune rurale et quartiers majoritairement peuplés par la communauté autochtone baoulé de Bouaké et regroupés au sein du mouvement « les Brigadiers pour la victoire de AK » et 120 associations des femmes ou « les princesses d’Abla Pokou » ainsi que les chefs traditionnels des cinq cantons (Phari, Assenze, Dohoun, Gossan et Prepessou), c’est au tour de l’union des jeunes résidents des 180 villages des cantons (Phari, N’dranouan, Dohoun, Gossan et Prepessou) mais cette fois apolitique, d’exprimer sa reconnaissance et son soutien au ministre Amadou Koné pour ses efforts de paix et de développement à Bouaké, ce samedi 22 juillet 2023 au cours d’une rencontre d’échanges qui avait pour thème « Développement de Bouaké avec Amadou Koné : Mythe ou réalité avec la Jeunesse rurale ».
Les préoccupations des jeunes de Bouaké commune rurale
« Les motivations de sa candidature, la place des femmes ou encore de la jeunesse dans son prochain conseil municipal à Bouaké » est ici la principale préoccupation de l’union des jeunes des cinq cantons Baoulés de la commune rurale de Bouaké dirigée par M Dibi Jeannot et soutenue par les associations (Ehoukaheyoum, Toutiya, Chics Dames, les femmes battantes de Bouaké, les coiffeuses et Esthéticiennes de Gbêkê et Ebobekoum de Tchelekro). Dévoilant un pan de sa promesse de campagne, Amadou Koné s’est dit pressé et heureux de travailler avec les jeunes dans son conseil municipal qui comportera 50% de femmes. Il en profitera pour annoncer un appui à 600 jeunes dès août prochain pour les activités génératrices de revenus. Quant à sa motivation pour la mairie, Amadou Koné a dit tout expliqué dans son programme qu’il dévoilera et développera pendant la campagne électorale.
Son appel aux cadres et jeunes de Bouaké
Selon Amadou Koné, si le président Alassane Ouattara a pu investir plus de 2000 milliards FCFA dans le Gbêkê en moins de cinq ans (2018-2023) avec près de 80% des villages électrifiés, de nombreuses infrastructures routières, sanitaires, éducatives, eau potable ect, c’est grâce à la paix et la stabilité retrouvées. « Faites confiance au président de la République. Faites-moi confiance car s’il a voulu que je sois le candidat du parti à Bouaké, c’est qu’il a un plan pour Bouaké. Comme vous le constatez, nous travaillons de façon méthodique, en bon ordre. Et nous sommes sur la bonne voie pour rendre encore meilleures les conditions de vie des populations de Bouaké. Voilà pourquoi c’est regrettable que des gens qui ne font rien pour Bouaké et qui reviennent ici chaque cinq ans pour les élections, essaient de vous embrouiller. Ils viennent vous blaguer et disparaître. Ils viennent vous mettre en palabre. Quand on sait que le développement n’aime pas les palabres car aucun opérateur sérieux ne viendra investir dans un climat de désordre » a-t-il fait savoir avant de conclure :
« Il faut les battre ; les mettre KO au point qu’ils ne pourront plus revenir à Bouaké et nous laisser terminer le travail de développement que nous avons commencé. Enfin, le camp de la paix et du développement doit gagner largement sur le camp du bavardage au soir du 2 septembre prochain. Je veux compter sur vous ».
Zéphirin G. avec Sercom