
Célébration du 4000e numéro du journal LE MANDAT: Les réactions du DP et des personnalités presentes
Le quotidien ivoirien Le Mandat a célébré, ce jeudi 16 janvier 2025, la parution de son 4000e numéro lors d’une cérémonie marquante à laquelle ont pris part plusieurs personnalités de renom. Parmi elles, Hervé Akaché, représentant le président de l’Assemblée nationale, Adama Bictogo, Jean-Mathias Djongo du Fonds de développement durable, et Zié Daouda, émissaire du ministre-gouverneur Cissé Bacongo. Tous ont salué le travail du directeur général et du personnel, avec des interventions du directeur de publication, Vincent Botti. Ci-après quelques propos forts des personnalités.
Vicent Paul Botti: « Le 4000e numéro, c’est un moment d’introspection pour aborder le futur»
16 ans que Le Mandat existe avec à sa tête le DG, M. Dibi Attoungbré. J’aimerais aussi rendre hommage à tous ces donateurs dans l’ombre qui nous ont permis de traverser tous ces moments. Nous célébrons le 4000e numéro parce que nous avons devant nous un manager. C’est vrai qu’il nous bouscule souvent, il tape par toutes les portes mais c’est son ambition de pérenniser l’oeuvre. De faire en sorte que l’outil de production survive et traverse le temps. Chaque fois qu’il vous sollicite, nous sommes très heureux de savoir que vous répondez toujours favorablement. Je voudrais ce jour au nom de toute l’équipe de Le mandat vous dire merci parce que votre soutien nous permet de tenir la route et de traverser le temps. Je voudrais également au niveau des perspectives de notre journal, faire savoir qu’aujourd’hui nous sommes dans un environnement numérique.

Depuis 2020, le manager M. Dibi Attoungbré, qui a compris qu’il fallait opérer des mutations a permis au journal de se positionner sur plusieurs segments. Nous avons aujourd’hui un WebTV dans lequel vous êtes. Nous avons un journal en ligne qui offre les formations de façon instantanée et nous avons un support papier. Nous sommes sur donc tous les segments et cela nécessite une vision, des investissements pour que nous fassions notre mutation. Ce ne fut pas facile mais grâce à vous, nous sommes aujourd’hui en train de nous positionner sur le marché pour répondre aux attentes et aux aspirations légitimes. D’ailleurs, aux consommateurs de presse, nous voudrons vraiment compter sur vous pour l’accompagnement pour que dans cinq ans dix ans, Le Mandat puisse davantage être une fierté dans le microcosme de la presse en Côte d’Ivoire et nous visons toujours des perspectives. Nous voudrons atteindre un niveau où vous-mêmes vous serez fiers de nous, c’est à dire un niveau où nous donnons l’information vraie, l’information avec beaucoup de professionnalisme, avec beaucoup de moyens et nous voudrons compter sur vous pour être nos ambassadeurs auprès des institutions, des personnes physiques et morales pour pouvoir atteindre ce niveau-là. Aujourd’hui, nous célébrons le 4000e numéro et je voudrais au nom du personnel que vous transmettiez à Monsieur Dibi Attoungbré Marcellin toute notre gratitude, toute notre fierté de l’avoir devant nous.
Nous travaillons dans des conditions descentes. Nous sommes l’un des rares groupes de presse dont les salaires sont assurés 12 mois sur 12. Nous sommes en tout cas dans des conditions optimales par rapport à de nombreux journaux de la place pour produire le meilleur, pour donner le meilleur de nous-mêmes. Je voudrais que vous lui transmettez toute notre fierté de l’avoir devant nous et qu’il puisse continuer à être le manager qui inspire, le manager qui nous permet de nous booster et de nous surpasser.
Le 4000e numéro, c’est un moment d’introspection pour aborder le futur. Nous voulons atteindre 5000 numéros, 6000 numéros. Peut-être que nous ne serons pas là mais il faut que nous tracions les sillons pour que les générations qui vont venir puissent savoir que du bon travail a été fait et nous voulons sincèrement compter sur la direction générale, le concours de tous pour laisser un bel héritage aux générations futures ».
Hervé Akaché, représentant du président de l’Assemblée nationale, Adama Bictogo : « Mes félicitations pour cette vision, pour ce leadership»
Je suis ici au nom du président Adama Bictogo. Un homme qui est un passionné d’informations justes et vraies et qui aime les journalistes. Parce que dans son parcours politique, comme vous le savez, il a été toujours présent aux côtés des journalistes et toujours présent je dirais même dans les relations. Je voudrais adresser d’abord au directeur général mes vives félicitations! Félicitations parce que le directeur général qui est journaliste et qui connaît l’écosystème des médias et qui a très vite compris les difficultés des médias papiers qui le pousse à changer de route face à ce qu’on appelle les NTICs où maintenant il est arrivé les réseaux sociaux une information qui n’est pas traitée maintenant, est traitée ailleurs. Et du coup le journal papier est devenu obsolète. Sa vision stratégique permet aujourd’hui à Le MANDAT d’arriver à 4000 numéros. D’abord je demande à Le Mandat de diversifier ces canaux d’informations.
Vous êtes au digital le site d’information, la WebTV. Je pense que c’est une stratégie porteuse. Mais la portée dans le sens où aujourd’hui vous avez des résultats et ça, c’est un gain énorme quand on sait aujourd’hui la difficulté que tout le monde rencontre dans l’écosystème. DG, au nom du président, je t’adresse mes félicitations pour cette vision, pour ce leadership qui vous a permis aujourd’hui d’avoir les jalons exceptionnels. Je voudrais ensuite adresser au nom du président toujours, mes encouragements à la rédaction.
Tous les jours nous avons l’intoxication informationnelle. Et ça il faut le combattre et c’est ce travail que vous faites. Donc je voudrais au nom toujours président Bictogo qui suit de prêt, les activités de Le Mandat et qui apprécie énormément le travail que vous faites vous adresser les expressions les plus fortes, les plus encourageantes. Merci pour le travail que vous faites vraiment. Félicitations à vous.
Merci beaucoup pour cette résilience que vous avez eue et que vous continuez d’être. Et il vous encourage à maintenir le cap, il vous encourage à faire en sorte que dirigeants soient toujours informés. Il sera toujours à vos côtés comme il a toujours fait bien sûr. Comme on le dit chez nous à Yopougon, on est ensemble.»

Jean-Mathias Djongo, Représentant du DG du Fonds du Développement du Tourisme:« Le Mandat se positionne comme un acteur important …»
« Le MANDAT joue un rôle important dans le secteur de la communication, en Côte d’Ivoire et durant plusieurs années ils ont fait beaucoup de variations. Le Mandat se positionne aujourd’hui comme un acteur important dans la communication auprès des hommes politiques ainsi que dans le secteur des entreprises, alors aujourd’hui fêter 4000ème numéro signifie que Le Mandat a déjà traversé beaucoup de générations. Le Mandat aujourd’hui se positionne comme un acteur important dans la communication institutionnelle et dans la communication politique de la Côte d’Ivoire. Je peux dire que Le Mandat a traversé beaucoup de choses.
C’est vrai, le milieu n’est pas assez reconnaissant. Je suis mieux placé pour le dire aujourd’hui parce que si le milieu devait être reconnaissant, aujourd’hui Le Mandat serait parmi les meilleurs. Donc aujourd’hui s’il se situe au quatre millième numéro, il faut reconnaître qu’il y a eu l’apport de certains cadres politiques. Que ce soit au niveau du RHDP, ou du PDCI, Le Mandat a eu beaucoup de soutien, d’appui de tous ces acteurs.

Le DG du Fonds de Développement du Tourisme et même le ministre Siandou Fofana expriment leurs encouragements à tous les journalistes d’abord au DG pour son implication, son dévouement au travail pour son amour du journalisme, de la communication et également pour tout ce qu’il fait pour le développement du secteur en Côte d’Ivoire.
Au niveau politique évidemment, le journal Le Mandat accompagne véritablement le ministre dans toutes ces activités politiques et c’est l’occasion pour moi de dire aussi merci au journal de transmettre quotidiennement toutes les informations. Le secteur du tourisme aussi vous appartient, il faut le promouvoir».