La justice déboute Dagbo Godé dans sa tentative de suspendre le congrès du FPI
Le procès en référé, initialement prévu pour le 22 octobre, a été déplacé au 29 octobre, c’est-à-dire aujourd’hui. Selon les informations dont nous disposons, après avoir examiné l’affaire, la justice a déclaré la plainte de Dagbo Godé « non fondée ». La justice a donc estimé qu’il n’y avait pas de raison légitime de suspendre le congrès, rendant ainsi inutile une décision d’urgence sur cette question.
Pour rappel, Dagbo Godé avait engagé deux actions en justice contre le FPI. La première concernait une demande d’annulation totale du congrès, arguant que le Comité Central qui a convoqué cet événement n’avait pas la légitimité nécessaire. Cet argument est infondé, car l’article 32 des statuts du FPI stipule clairement que le Comité Central a le droit de convoquer le congrès.
Parallèlement, Dagbo Godé avait également saisi la justice en référé pour demander la suspension du congrès. La procédure en référé est une démarche d’urgence permettant à la justice d’agir rapidement pour prendre des mesures temporaires en attendant le jugement sur le fond de l’affaire.
En d’autres termes, Dagbo Godé demandait à la justice de stopper le congrès du FPI jusqu’à ce qu’une décision soit rendue sur le fond.
HG