Auto –école / Sécurité routière, tournée à l’intérieur du pays : Koko Guillaume se prononce
Fraichement rentré de France, Koko Guillaume, le président de l’Union nationale du patronat des auto-écoles de Côte d’Ivoire (UNAPAE-CI), a fait un regard rétrospectif sur lancement de la 18ème édition de la sécurité routière qui a eu lieu le mercredi 3 juillet dernier.
C’était le jeudi 18 dernier dans les locaux de sa structure à Angré. D’emblée, il a, au nom de tous les membres de l’UNAPAE-CI traduit leurs félicitations à Kouakou Etienne, le nouveau Directeur général de l’OSER. «(…) Nous lui souhaitons la bienvenue et profitons de l’occasion pour également lui formuler nos vœux de plein succès dans ses nouvelles fonctions », a-t-il dit.
Abordant la question de la sécurité routière, il a fait le commentaire suivant : «(…) Dans le commun des mortels, on dit souvent que c’est l’affaire de tous. Donc, il faut toujours rappeler aux automobilistes les règles élémentaires de la bonne conduite. Il faut toujours leur faire comprendre que la sécurité routière est une question de vie ou de mort. Vu que l’automobile évolue, de même que la route avec beaucoup de signalisations, Il faut chaque fois faire des piqures de rappel. C’est alors important qu’on fasse des semaines de sécurité routière. C’est en cela que nous avions apprécié ce lancement au cours duquel, chaque automobiliste a été exhorté à la prudence en temps de pluie, comme c’était le thème d’ailleurs », a indiqué Koko Guillaume.
Avant de souligner que les conduites sont variables en fonction des temps et des saisons. «(…) En temps de brouillard, nous n’avons pas les mêmes conduites qu’en temps de saison sèche. Les semaines de sécurité routières rappellent également le civisme et la courtoisie à observer une fois qu’on est au volant, car la route », à faire savoir Koko Guillaume.
Qui, faisant d’une pierre deux coups, s’est prononcé sur le Haut Conseil des auto –écoles de Côte d’Ivoire. Avec pour objectif de réorganiser un peu encore les auto-écoles, de sorte à leur permettre de parler d’une seule unique et même voix. A cet effet, dit-t-il, nous faisons actuellement le tour des villes, de sorte à sensibiliser nos camarades à tenir une Assemblée générale constitutive et élective.
Boty Vincent avec Sercom