Après une rupture, il se venge sur Internet
Dame KLK, victime de menaces, diffamations et injures via un compte Facebook, s’est rendue à la PLCC pour porter plainte. Les investigations menées par la PLCC avec le soutien du Laboratoire Criminalistique Numérique (LCN) ont conduit à l’interpellation de DOC.Lors de son interrogatoire, DOC a reconnu être l’auteur des publications diffamatoires à l’encontre de dame KLK, son ex-épouse, en utilisant des faux comptes sur Facebook et WhatsApp.
Il a expliqué que ses actions étaient motivées par une rancune accumulée depuis la dégradation de leur relation maritale. DOC a ajouté qu’il avait consenti d’énormes efforts financiers et moraux pour soutenir KLK dans la poursuite de ses études afin qu’elle obtienne une meilleure indépendance financière et améliore leurs conditions de vie.
Cependant, il a été surpris lorsque KLK a brusquement quitté le domicile conjugal après avoir obtenu une situation plus agréable. Consumé par la colère, la haine et le regret, il a opté pour la vengeance en publiant des messages diffamatoires sur Internet pour ternir son image.L’affaire de KLK et DOC illustre les conséquences légales et morales des abus de la liberté d’expression dans le contexte numérique.
Il est important de souligner que le cyberespace est soumis aux mêmes lois que le monde physique. L’intervention de la PLCC montre l’importance de la lutte contre la cybercriminalité pour protéger les individus et maintenir l’ordre dans l’espace numérique.
DOC a été conduit au parquet pour diffamation, injures et menaces au moyen d’un système d’information.
HG avec PLCC