Religion : Le dimanche des Rameaux, qu’est-ce que c’est? On vous explique tout !
Lemandatexpress.net – Célébré une semaine avant la fête de la Pâque, le dimanche des Rameaux est lié à une histoire dans la religion chrétienne catholique. Tout savoir sur cette célébration qui se tient le dimanche 24 mars, cette année.
Aussi connu sous le nom de “Dimanche de la Passion”, le dimanche des Rameaux fait référence à l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, où la foule l’a accueilli en agitant des branches de palmier. Ce jour est également marqué par la lecture du récit de la Passion, ce qui justifie l’appellation de “Dimanche de la Passion”.
Une procession précède souvent la messe du Dimanche des Rameaux. Pendant cette procession, les fidèles imitent les gestes des foules qui ont accueilli Jésus à Jérusalem en entonnant le cri “Hosanna !”.
Les fidèles peuvent porter des palmes ou d’autres plantes lors de la procession. Bien que les feuilles de palmier soient traditionnellement utilisées, d’autres plantes comme l’olivier, le saule ou le sapin sont également appropriées.
Lors de son entrée à Jérusalem, Jésus a revendiqué le droit royal en montant un ânon sur lequel personne n’avait encore monté, illustrant ainsi son statut de roi, comme l’explique le Pape Benoît XVI dans son ouvrage “Jésus de Nazareth : de l’entrée à Jérusalem à la résurrection”.
Les gestes des disciples et des pèlerins lors de l’entrée de Jésus à Jérusalem reflètent la tradition de la royauté en Israël et expriment l’espérance messianique, selon le Pape Benoît XVI.
Le cri “Hosanna” est un mélange de joie et de prière prophétique exprimé par les pèlerins accompagnant Jésus, soulignant leur louange à Dieu et leur attente du Messie. Il est important de noter que la foule qui a acclamé Jésus à son entrée à Jérusalem n’est pas la même que celle qui a demandé sa crucifixion, comme le souligne le Pape Benoît XVI.
Enfin, le récit de la Passion revêt une solennité particulière dans la liturgie, avec des recommandations spécifiques sur la manière de le proclamer et sur la nécessité de le lire intégralement pour le bien spirituel des fidèles, conformément à la “Lettre des célébrations pascales”.
À branler Saliho
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