Lancement des activités de la Fondation FHB : Thiam raconte Houphouet Boigny
Le jeudi 19 janvier 2023, a été la date choisie par la direction de la fondation Félix Houphouet Boigny pour la recherche de la paix, de procéder au lancement de ses activités, pour l’année en cours. Une tribune, qui a été pour le ministre- gouverneur , Augustin Thiam, de raconter ses 21 ans de pratique quotidienne, avec le père de la Côte d’Ivoire moderne.
Le ministre-gouverneur du district autonome de Yamoussoukro, Augustin Thiam, petit fils du président Houphouet Boigny et chef canton des Akoue, a prit part aux commémorations marquant ;les trente ans du décès du président Houphouet Boigny, et du cinquantième anniversaire de la création de cet édifice baptisé en son nom.
” J’ai eu cette chance de côtoyer, et de pratiquer le président Félix Houphouet Boigny, pendant les vingt dernières années de sa vie. La première chose que je pourrais dire de lui, c’est que sa fréquentation était une leçon permanente”, a confié d’entrée, Nanan Boigny N’dri III à l’auguste assemblée.
Poursuivant, son témoignage sur la vie et l’œuvre du bâtisseur de la Côte d’Ivoire moderne, Augustin Thiam, a marqué un arrêt, pour mettre en évidence, quelques éventualités : ” j’ai l’impression que, beaucoup de gens ont côtoyé Houphouet Boigny, sans apprendre de lui, dans ses différentes facettes et en tant qu’individu.” , A-t-il souligné. Avant d’appeler à la sauvegarde des valeurs de l’houphouetisme ” il est de notre devoir, nous les aînés, d’entretenir la flamme de l’houphouetisme, de faire en sorte que ; Houphouet Boigny ne disparaisse pas de nos mémoires. Et surtout des mémoires des jeunes, notre avenir” exhortait ainsi, l’ex député de Yamoussoukro- commune. Selon l’orateur, même si sa vie ne suffisait pas pour entretenir l’assistance, sur le monument, qu’incarnait “le vieux” , il serait louable et juste de reconnaître que le bilan au soir de la vie du président Houphouet Boigny, est positif. Les qualités dont il a fait preuve tout le long de son existence, l’emportent très largement sur ses défauts. A conclu le médecin de formation.
Joseph kouakou