CAN 2023/ Après 72 heures de visite en Côte d’Ivoire/ Le SG de la CAF: » Je suis content de ce que j’ai vu »
Le Secrétaire général de la Caf Véron Mosengo-Omba a terminé son séjour en Côte d’Ivoire dans le cadre de l’organisation de la CAN 2023. Avant son départ, il a animé un point de presse à l’hôtel Radisson Blu.
Bon point pour la Côte d’Ivoire. Alors qu’elle doit organiser la CAN 2023, les voyants sont au vert pour le prochain pays hôte, selon l’émissaire de la CAF. En effet, Véron Mosengo-Omba a quitté la Côte d’Ivoire après un séjour 72 heures satisfait de ce qu’il a pu constater à Korhogo, San Pedro et Abidjan. Pour lui, la Côte d’Ivoire se prépare à organiser une Can 5 étoiles. « Je pense que la Côte d’Ivoire aura une CAN 5 étoiles avec ce que j’ai vu. Les infrastructures peuvent être livrées après décembre 2022. Nous ne sommes pas fermés », a indiqué le Véron Mosengo-Omba. Et d’ajouter : » Je rentre au Caire satisfait. Nous allons installer notre bureau de la Caf à Abidjan. Et nous allons travailler en étroite collaboration avec les autorités locales, la FIF, pour livrer la meilleure CAN ». Après avoir visité les sites de Korhogo et San Pedro, Véron Mosengo-Omba a noté une grande avancée. « Nous avons constaté que les travaux de la cité sportive à Korhogo avancent très bien. Les travaux du stade avancent très bien. Je suis content de ce que j’ai vu. A San Pedro, nous avons visité la cité sportive. Les travaux avancent bien. Les joueurs et les officiels qui vont y habiter ont de la chance », a poursuivi l’émissaire de la CAF. Toutefois, il a estimé qu’il y a des choses à améliorer. Selon, Véron Mosengo-Omba, la CAF ne sera pas dure avec le pays organisateur. « Le cahier des charges, concernant les infrastructures, a été remis aux autorités. La prochaine étape, c’est la livraison des ouvrages. La plupart du temps, ce sera fin décembre. Pour nous, les ouvrages doivent être remis six mois avant la compétition. Si vous avez été au Brésil, vous avez noté que les tribunes n’étaient pas livrées avant la compétition. Ne soyons pas trop durs avec nous-mêmes», a conclu Véron Mosengo-Omba.
F. Aquey